SOMMAIRE

AGRESSION RER D
Agression du RER D Marie-Léonie Leblanc vendredi 9 juillet 2004 antisémitisme Marie-Léonie Marie L. lutte contre l'antisémitisme agression antisémite mythomane UMP Consistoire Central Juif Paris Conseil Représentatif des Institutions Juives de France CRIF commission Stasi sur la laïcité Paris, commission nationale consultative des droits de l'homme et secrétaire nationale chargée des droits de l'homme de l'UMP, Secrétaire d'Etat aux programmes immobiliers de la Justice ministre de tutelle Dominique Perben ( Justice )

HISTORIQUE DE L'AFFAIRE :


Lundi
19 juillet 2004 776/22172

Dans l'affaire de l'agression antisémite fictive du RER D près de Paris, le vendredi 9 juillet 2004, par 6 étrangers, dont 4 Maghrébins et 2 Noirs, la jeune femme mythomane, Marie-Léonie Leblanc, 23 ans - une nouvelle fois sous la pression des média - a été filmée de dos en compagnie de son frère et de sa mère par la télévision publique France 3 et la chaine d'info continue privée LCI, lisant un bref texte d'excuse : "Je suis profondément désolée de tout ce qui est arrivé par ma faute", (...) "Je présente mes excuses à Monsieur le président de la République, à Madame Nicole Guedj, secrétaire d'Etat aux Droits des victimes, (membre du consistoire israélite central de France et du CRIF, qui regroupe l’ensemble des organisations juives de France), et aux personnes qui ont manifesté leur soutien sur mon mensonge. Je regrette cet acte et je demande pardon à tous ceux que j'ai trompés et blessés." L'affaire médiatisée à outrance avait provoqué une vague d'indignation de l'Elysée (Présidence de la République) jusqu'au Congrès Juif Mondial. Marie-Léonie devrait être défendue par maître Olfa Bati. Elle comparaîtra le 26 juillet 2004 devant le tribunal correctionnel de Cergy-Pontoise pour "dénonciation de délit imaginaire". Dossier : Affaire d'agression du RER D. ; Les pompiers pyromanes de l’antisémitisme

Vendredi
16 juillet 2004 774/22170 Source www.fil-info-france.com


Dans l'affaire de l'agression antisémite fictive du RER D près de Paris, le vendredi 9 juillet 2004, par 6 étrangers, dont 4 Maghrébins et 2 Noirs, la jeune femme mythomane, Marie-Léonie Leblanc, 23 ans, a été remise en liberté jeudi après 2 jours de garde à vue et contre une obligation de soins dans les plus brefs délais par un juge de la liberté et de la détention (JLD). Elle comparaîtra le 26 juillet 2004 devant le tribunal correctionnel de Cergy-Pontoise pour "dénonciation de délit imaginaire". Son conjoint, également en garde à vue, a été remis en liberté sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui. L'affaire, médiatisée à outrance par les organisations juives, dont le Conseil représentatif des Institutions Juives de France, CRIF dirigé par Roger Cukierman et la LICRA, avait provoqué une vague d'indignation de l'Elysée (Présidence de la République) jusqu'au Congrès Juif Mondial. Marie-Léonie devrait être défendue par maître Olfa Bati. Dossier : Affaire d'agression du RER D. ; Les pompiers pyromanes de l’antisémitisme


Jeudi
15 juillet 2004 772/22169 Source www.fil-info-france.com

Dans l'affaire de l'agression antisémite fictive du RER D le vendredi 9 juillet 2004, la mère de la jeune femme mythomane souhaite que "justice soit faite" mais également que sa fille soit vue par un psychiatre et soignée, déclarant "Je n'arrive pas à comprendre ce qui s'est passé, c'est dramatique, parce que ce n'est pas normal non plus qu'elle mette la France dans cet état". Marie-Léonie est poursuivie pour dénonciation de délit imaginaire pour avoir totalement inventé l'agression antisémite. Aucune information judiciaire ne serait ouverte contre elle dans l'attente d'un rapport psychiatrique. Le président du Conseil régional du culte musulman de Rhône-Alpes, Kamel Kabtane, a dénoncé une "islamophobie ambiante", et le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) a déploré que les "populations des banlieues" aient été de nouveau stigmatisées.


Mercredi
14 juillet 2004 772/22168 Source www.fil-info-france.com

La première agression antisémite contre une personne non juive qui aurait eu lieu, de source policière, vendredi 9 juillet 2004 au matin sur la ligne D du réseau express régional RER de la SNCF, dans la banlieue parisienne était une "affabulation". Marie L. a été mise en garde à vue pour "dénonciation de délit imaginaire", de même que son compagnon selon le procureur de la République à Cergy-Pontoise, Xavier Salvat. Elle a avoué mardi avoir tout inventé avec l'aide de ce dernier. Plus de 60 policiers ont été mobilisés et l'analyse des bandes vidéo des gares n'a pas permis de retrouver d'éventuels agresseurs. Les enquêteurs ont également établi que Marie L. n'avait pas téléphoné sur son portable de la gare de Garges-Sarcelles, comme elle le prétendait, mais de Louvres, dans le Val d'Oise, et que les agents SNCF ne se souvenaient pas de cette plainte, et pour cause. Enfin, son compagnon a participé au similacre en dessinant lui-même les 3 croix gammées sur le ventre de la fausse victime. Désignant "6 agresseurs d'origine maghrébine et africaine", le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples, MRAP a dénoncé les "propos irresponsables" des dirigeants politiques, associatifs ou communautaires qui ont profité, selon lui, d'une agression supposée pour "instrumentaliser l'antisémitisme", en déplorant que cette affaire "ait jeté en pâture les populations des banlieues déjà stigmatisées". Jacques Myard, député UMP, a dénoncé dans un communiqué "l'hystérie médiatique" et "l'hystérie politique" qui ont accompagné cette affaire et reproché aux hommes politiques de "vouloir épouser le rythme des médias", ajoutant : "Le pouvoir est aujourd'hui partout sauf là où il devrait être (...) Que reste-t-il à nos ministres et présidents sinon le ministère des mots et le verba volent ?" Le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin a déclaré que cette agression "réelle ou virtuelle" a provoqué "une émotion authentique", concluant : "L'émotion qui a déclenché cette information (...) est, elle, une émotion authentique". Rappel des "faits" : 6 agresseurs, désignés comme étant d’origine maghrébine et africaine, armés de couteaux, ont menacé et coupé les cheveux de la jeune femme, accompagnée de son bébé de 13 mois, puis ont lacéré son tee-shirt et son pantalon, avant de dessiner au feutre noir 3 croix gammées sur son ventre dans le train RER D à la gare de Louvres le vendredi 9 juillet 2004. En fouillant son sac pour lui dérober son argent, voyant qu’elle avait une adresse dans le XVIe arrondissement de Paris, les agresseurs auraient dit : "Dans le XVIe il n'y a que des juifs". Après l'agression, les 6 hommes ont pris la fuite en renversant la poussette, faisant tomber le bébé à terre, et en emportant le sac de la victime qui contenait ses papiers, sa carte bancaire et une somme de 200 euros. Le Président de la République Jacques Chirac avait exprimé son "effroi" demandant que les auteurs de "cet acte odieux" soient retrouvés, "jugés et condamnés avec toute la sévérité qui s’impose". Toute la classe politique et les associations juives, dont la LICRA (Ligue Contre l'Antisémitisme) présidée par le député européen UMP, Patrick Gaubert, s'emparent de l'affaire, jusqu'au Congrès Juif Mondial qui appelle la police à "éliminer" les zones de non droit des cités", concluant "qu'à l'instar du plan vigipirate anti-terroriste, un plan doit être mis en place sans délai. Il en va de l'avenir de la France". Dans une médiatisation à outrance, la secrétaire d'Etat aux Droits des victimes, Nicole Guedj, reçoit dès lundi la victime de la première affaire d'antisémitisme visant une personne non juive. Rappelons que Nicole Cuedg est également l'administratice du Consistoire israélite Central de France, membre du Conseil représentatif des institutions juives de France CRIF, qui regroupe l’ensemble des organisations juives et une virulente opposante au voile islamique au sein de la commission Stasi sur la laïcité, sans oublier sa participation active dans la visite en France du Président israélien Moshé Katsav du 16 au 20 février 2004. Plus de détails : édition du mardi 12 juillet 2004 ; édition du lundi 11 juillet 2004 ; Les pompiers pyromanes de l’antisémitisme


Mardi 13 juillet 2004 771/22167 Source www.fil-info-france.com

ANTISEMITISME : Nicole Guedj, secrétaire d'Etat aux droits des victimes a reçu pendant plus d'une heure lundi matin la jeune mère d'un bébé de 13 mois, victime vendredi 9 juillet dans le RER D, de la première agression antisémite visant une non juive. Nicole Guedj a appelé à témoigner un couple qui aurait aidé la jeune femme à descendre du RER indiquant que l'absence de réaction des témoins serait comprise et leur "anonymat préservé". "Il me semble difficile maintenant de venir poursuivre des gens qui étaient eux-mêmes en danger. Pour ne pas avoir réagi, il faut concevoir qu'ils se trouvaient en danger eux-mêmes et qu'ils se seraient d'autant plus exposés s'ils avaient agi. Donc nous comprendrons tout cela", a déclaré la secrétaire d'Etat aux droits des victimes, qui est également administratrice du Consistoire israélite Central de France et du Conseil représentatif des institutions juives de France) CRIF, qui regroupe l’ensemble des organisations juives. 6 jeunes, désignés comme étant d'origine maghrébine et africaine, auraient agressé sur cette ligne, entre Louvres et Sarcelles (Val-d'Oise), une jeune femme de 23 ans, indemne. Armés de couteaux, ils auraient coupé des cheveux à la jeune femme, accompagnée de son bébé de 13 mois, puis ont lacéré son tee-shirt et son pantalon, avant de dessiner au feutre noir 3 croix gammées sur son ventre, et de jeter à terre la poussette. Selon la victime, l'un des malfaiteurs aurait dit avant l'agression, alors qu'il fouillait son sac pour lui voler 200 euros, découvrant une adresse d'identité dans le XVIe arrondissement de Paris, un des plus riches quartiers de la capitale, "dans le XVIe il n'y a que des juifs". Bruno Beschizza, secrétaire général du syndicat des officiers de police a déclaré à l'agence France Presse AFP, que "depuis dimanche soir sont apparues des contradictions", précisant "qu'il n'y a pas assez d'éléments probants" dans les déclarations de la jeune femme. Frank Carabin, du même syndicat a affirmé "qu'il y a des incohérences dans les déclarations de la jeune femme X", faisant état de "l'absence de témoins", et du fait que le personnel de guichets de la SNCF, à qui la victime affirme être allée dénoncer l'agression, ne se souvienne pas de l'affaire qui a fait réagir le Président de la république, exprimant son "effroi" et demandant à ce que les auteurs de "cet acte odieux" soient retrouvés, "jugés et condamnés avec toute la sévérité qui s'impose". Ultra médiatisé pour cause d'antisémitisme, aucun témoin, même anonyme, ne s'est manifesté 3 jours après les faits, malgré une "opération d’envergure" sur la ligne D du RER. A l'exception d'un homme de 28 ans, interrogé lundi par l'agence France Presse AFP, qui affirme avoir vu la jeune femme sur le quai de la gare de Louvres sur la ligne Paris-Creil, vendredi matin le pantalon déchiré, mais avant l'agression et où elle dit être montée dans le train. "Elle pleurait, je lui ai demandé si elle voulait de l'aide, elle a refusé" a dit ce témoin clé à l'AFP. De source judiciaire, la jeune femme aurait dit avoir fait l'objet d'agressions. Le Parquet (ministère public) de Cergy (Val-d’Oise) a appelé "Toute personne qui aurait été témoin des faits et qui pourrait apporter des renseignements de quelque nature que ce soit est priée de se manifester le plus rapidement possible auprès des services de la DRPJ de Versailles (01.39.24.71.93)". La télévision publique France 2 a rapporté que "les premiers doutes affichés sur l'authenticité du témoignage de la jeune femme" ont indirectement été relayés par plusieurs responsables politiques. "J'espère qu'il n'y a pas de loup sur cette affaire", a lancé le président socialiste du conseil régional d'Ile-de-France Jean-Paul Huchon à Nicole Guedj, secrétaire d'Etat aux Droits de la victime. Idem pour le député socialiste et ancien ministre de l'Economie, Dominique Strauss Kahn qui a réagi ainsi : "Si c'est un coup monté, évidemment, ce serait critiquable en tant que coup monté (...) Mais ça ne changerait rien au fait que c'est la dixième ou la vingtième agression". Le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, a appelé les Français au "courage citoyen" pour "résister à la circulation" de la violence dans la société. La présidente socialiste de la région Poitou-Charente Ségolène Royal a exprimé, son "sentiment d’horreur" face à l’agression dont a été victime cette jeune femme. Patrick Gaubert, Président National de la LICRA (Ligue Contre l'Antisémitisme), devenu député européen UMP, communique "qu'après la dramatique affaire de l’agression d’une jeune femme et de son bébé dans le RER, la LICRA a constaté avec satisfaction la mobilisation quasi unanime de l’ensemble de la classe politique républicaine à l’unisson du discours de fermeté tenu par le Président de la République à Chambon-sur-Lignon. La LICRA salue tout particulièrement l’initiative prise par le Président du Conseil Régional de l’Ile de France, Jean-Paul Huchon, de rassembler l’ensemble des élus régionaux aujourd’hui au sein du Conseil Régional. Rappelons que la section française du Congrès Juif Mondial a exprimé dimanche "son indignation". "La justice se doit de prendre la mesure de sa responsabilité quand elle relaxe des délinquants (allusion aux relaxes de l'humoriste noir Dieudonné) ayant commis des actes antisémites et racistes", poursuivant, "les forces de police doivent éliminer les zones de non droit où s'accumulent la drogue et les armes", demandant "des mesures exceptionnelles" soulignant qu"elles "sont impératives", concluant "qu'à l'instar du plan vigipirate anti-terroriste, un plan doit être mis en place sans délai. Il en va de l'avenir de la France". La Ligue des droits de l'Homme, LDH, a dénoncé dans cette affaire 2 violences intolérables : une agression antisémite et la lâcheté des témoins. Enfin, le Président du Front National et député européen, Jean-Marie Le Pen a souligné la "disproportion des réactions", notamment de la part du président de la République, entre cette affaire et "le viol et l'assassinat de petites filles en Alsace", affirmant "qu'il est certain que l'antisémitisme est une circonstance aggravante. Mais le matraquage permanent de ce mot est devenu une façon commode de détourner l'attention des réalités actuelles". Plus de détails : Les pompiers pyromanes de l’antisémitisme


Lundi
12 juillet 2004 770/22166 Source www.fil-info-france.com

FRANCE : ANTISEMITISME : La première agression antisémite contre une personne non juive aurait eu lieu, de source policière, vendredi 9 juillet 2004 au matin sur la ligne D du réseau express régional RER de la SNCF, (trains de la banlieue parisienne). 6 jeunes, désignés comme étant d'origines maghrébine et noire, auraient agressé sur cette ligne, entre Louvres et Sarcelles (Val-d'Oise), une jeune femme de 23 ans, indemne. Armés de couteaux, ils auraient coupé des cheveux à la jeune femme, accompagnée de son bébé de 13 mois, puis ont lacéré son tee-shirt et son pantalon, avant de dessiner au feutre noir 3 croix gammées sur son ventre. Selon la victime, l'un des malfaiteurs aurait dit avant l'agression, alors qu'il fouillait son sac pour lui voler 200 euros, découvrant une adresse d'identité dans le XVIe arrondissement de Paris, un des plus riches quartiers de la capitale, "dans le XVIe il n'y a que des juifs". Un enquête judiciaire a été ouverte et la SNCF a remis aux enquêteurs les enregistrements du système de vidéo surveillance du quai de la station de RER de Garges-Sarcelles (Val d'Oise) où sont descendus les agresseurs. Le ministre de l'Intérieur Dominique Galouzeau de Villepin a parlé d'une agression "ignoble", et a "donné instructions aux services de police pour retrouver les auteurs dans les plus brefs délais". Le président de la République, Jacques Chirac, a exprimé son "effroi" et demandé à ce que les auteurs de "cet acte odieux" soient retrouvés, "jugés et condamnés avec toute la sévérité qui s'impose". Les membres de la communauté juive de France se sont expimés tour à tour : le président de l'Assemblée Nationale, Jean-Louis Debré, qui rappelait récemment qu'un de ses grand père avait été rabbin, a exprimé "la révolte devant ces actes ignobles", concluant que "la France ne peut accepter passivement de tels agissements parce que c'est l'âme et la tradition de notre pays qui est visée". Le ministre de la Santé, Philippe Douste-Blazy a déclaré : "Au nom du gouvernement, je voudrais dire combien la haine, l'antisémitisme, le racisme et la xénophobie sont certainement les pires dérives mortelles pour notre démocratie". Jean-Paul Huchon, président socialiste de la région Ile-de-France, a dénoncé la lâcheté des Français, rappelant que "la France, pendant la guerre de 40, a été le seul pays qui ait donné des enfants juifs à déporter. Et maintenant on laisse des gens se faire attaquer comme ça sans réagir, sans rien faire". Dominique Strauss Kahn, député socialiste du Val d'Oise, et François Pupponi, maire socialiste de Sarcelles, ont exprimé dimanche soir dans un communiqué commun "leur plus vive émotion et leur indignation" après l'agression antisémite d'une jeune femme, vendredi dans le RER D. Ils ont dénoncé "la lâcheté des agresseurs qui s'en sont pris à une mère de famille sans défense" et ont déploré "la passivité des passagers qui ne sont pas intervenus pour porter assistance aux deux victimes". Nicole Guedj, secrétaire d'Etat aux Droits des victimes et membre du consistoire israélite central de France et du CRIF, qui regroupe l’ensemble des organisations juives de France, a lancé un appel à témoins pour retrouver les agresseurs, "j'en appelle aux témoins pour qu'ils se manifestent et que l'on puisse très vite retrouver et sanctionner les auteurs de ces actes indignes". Nicole Guedj s'est entretenue par téléphone avec la victime. Roger Cukierman, président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) et vice -président du Congrès Juif Européen a réagi ainsi : "Ce qui me frappe, c'est l'indifférence et la banalisation dans l'opinion publique face au phénomène antisémite". Enfin, la section française du Congrès Juif Mondial a exprimé dimanche "son indignation". "La justice se doit de prendre la mesure de sa responsabilité quand elle relaxe des délinquants (allusion aux relaxes de l'humoriste noir Dieudonné) ayant commis des actes antisémites et racistes", poursuivant, "les forces de police doivent éliminer les zones de non droit où s'accumulent la drogue et les armes", demandant "des mesures exceptionnelles" soulignant qu"elles "sont impératives", concluant "qu'à l'instar du plan vigipirate anti-terroriste, un plan doit être mis en place sans délai. Il en va de l'avenir de la France". Cette agression intervient au lendemain de l'appel aux Français de Jacques Chirac à la vigilance et au "sursaut" face à la montée des intolérances, du racisme et de l'antisémitisme, jeudi à Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), élevé au rang de village des Justes par l'Etat d'Israël en reconnaissance de l'accueil de milliers de juifs pendant la deuxième guerre mondiale. La communauté musulmane de France, tous les partis condamnent cette agression. Plus de détails : Les pompiers pyromanes de l’antisémitisme



COMMISSION STASI
Commission Stasi - liste des membres
RAPPORT COMMISSION STASI 30 pages
La commission dont le président est Bernard Stasi, Médiateur de la république a remis son rapport au président de la République, le 11 décembre 2003, rapport qui préconise une loi prohibant les signes d'appartenance religieuse et politique dans les établissements scolaires. Il a été proposé d'ajouter à la liste des jours fériés Yom Kippour ( Juif ) et l'Aïd el-Kébir ( Musulman ).


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La République
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