SOMMAIRE

AL-MANAR TV ANTISEMITISME Juif Al-Manar Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative en France Dominique Baudis Jean-Pierre Raffarin chaîne de télévision libanaise Al-Manar Hezbollah, Eutelsat, Interdiction d'Al Manar Tv dossier de conventionnement CSA, Conseil supérieur de l’Audiovisuel, autorité fréquences programmes radios télévisions hertziennes satellitaires, arrêt diffusion programmé feuilleton jugé antisémite par Israël, traitement de l'information martyrisation Palestiniens fanatique attentats puissance occupante, Israël Juif, juifs France, Europe, lobby juif, Shoah, ( choa shoa ) Juifs et Arabes dans le conflit Israël Palestine Livres antisémitisme génocide juif Holocauste journaliste sionisme censure livre TV Internet chantage média presse LICRA Censure, voir également CAPJPO-EuroPalestine : Coordination des Appels pour une Paix Juste au Proche Orient CAPJPO - EuroPalestine ; solidarité avec la Palestine, respect du droit international, dénoncer sans relâche l’occupation des territoires palestiniens, manifestation pacifique, découverte de la culture palestinienne...

AL-MANAR TV (Site internet en anglais, in english)
AL-MANAR TV (Site internet en arabe)


( Interdiction d'Al Manar Tv )
Mardi 14 décembre 2004 902/22299

CHRONIQUE JUDICIAIRE CJ DE PASCAL MOUROT : Bruno Genevois, juge et président de la section du contentieux du Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative en France, statuant en référé, a ordonné, lundi 13 décembre 2004, à la société Eutelsat de faire cesser la diffusion du service de télévision Al Manar. Il ordonne en outre, "Article 1er : Les interventions du Premier ministre et du Consistoire central union des communautés juives de France sont admises." Article 2 : "Il est enjoint à la société Eutelsat de faire cesser la diffusion sur ses satellites des services de télévision d'Al Manar au plus tard à l'expiration du délai de 48 heures à compter de la notification qui lui sera faite par télécopie de la présente ordonnance." Enfin, article 5 : "La présente ordonnance sera notifiée à la société Eutelsat, au président du Conseil supérieur de l'audiovisuel, à la société Lebanese communication group, au Premier ministre, au Consistoire central union des communautés juives de France et au ministre de la culture et de la communication." Plus de détails : Ordonnance N°274757 du juge des référés du 13 décembre 2004. ; Texte du communiqué de presse du Conseil d'Etat ; DOSSIER AL MANAR TV ** CENSURE (Musulmans) : Le site http://www.islamiya.info/ donne un aperçu vidéo de la manifestation de soutien à Al Manar Tv qui a eu lieu devant le CSA à Paris le mardi 7 décembre 2004. Jamel Bouras, Rachid Benaïssa, Nouari Khiari donnent leur avis sur le "contrôle des médias français par les organisations juives". Le 2 décembre 2004 vers 23 heures 30, la rédaction d'Al Manar a reproché publiquement à Israël de mener une campagne à l'effet d'empêcher la chaîne de révéler aux téléspectateurs en Europe "les crimes contre l'humanité perpétrés" par cet Etat" aussi bien en Palestine occupée que dans le monde". ANTISEMITISME (Juifs) : Le CRIF, Conseil représentatif des Institutions juives de France, présidé par Roger Cukierman, a exprimé sa "satisfaction à l’annonce de la décision du Conseil d’Etat d’interdire la diffusion de la chaîne de télévision du Hezbollah Al Manar". Le Conseil d’Etat a "pris en compte les nombreuses mises en garde du CRIF sur le caractère raciste, antisémite de Al Manar, télévision qui fait l’apologie du terrorisme, qui dénie les droits de l’homme, et qui peut entraîner des troubles à l’ordre public". Le CRIF espère "que très prochainement un organisme de régulation se créera dans le cadre de l’Union Européenne afin d’éviter toutes dérives comparables à celles d’Al Manar". L'Internet sera la prochaine cible du CRIF, conformément à la décision prise lors du 3e comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme qui s'est tenu le jeudi 18 mars 2004 à Paris, présidé par le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, dont voici les termes exacts : "Afin de renforcer l’efficacité du repérage des sites présentant un caractère antisémite, le ministère et le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) échangeront systématiquement leurs informations. Une liaison Internet directe entre le CRIF, les fournisseurs d’accès et l’Office central de lutte contre la criminalité sur internet va être installée pour permettre le signalement immédiat des sites racistes et antisémites et le déclenchement des investigations policières." Plus de détails : Le CRIF promu gendarme du Net ?


Jeudi
25 novembre 2004 886/22282

Roger Cukierman, Président du CRIFFRANCE : (ANTISEMITISME) : Le "scandale" Al Manar "Hezbollah's channel" qui fait désormais la une du site du Congrès Juif Mondial en Israël, World Jewish Congress est dirigé vers l'Elysée, (palais du Président de la République) et entre les mains de Jacques Chirac, sommé publiquement "de donner sa position" sur cette affaire qui mobilise tous les élus et représentants juifs dans le monde. Le Président du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions juives de France) Roger Cukierman, (photo) considéré par les observateurs, comme le ministre d'Israël en France, bénéficiant à ce titre du service officiel permanent de protection rapprochée, a réclamé la convocation "urgente" du Comité interministériel de lutte contre l’antisémitisme, "s’il a encore un sens" après que le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) ait décidé vendredi 19 novembre 2004 (veille de shabat) d’autoriser la télévision satellitaire Al Manar, proche du Hezbollah chiite libanais montrant en images les ravages des "forces de la domination américano-sioniste au Proche-Orient". La toute puissante Ligue Anti-Diffamation américaine, qui avait réussi à faire supprimer des scènes jugées "antisémites" du film de Mel Gibson, La Passion du Christ, The Anti-Defamation League (ADL), dans un communiqué publié à New-York (Etats-Unis) a apporté son soutien au CRIF dans sa demande d'interdiction d'Al Manar TV et écrit au Président de la République Jacques Chirac. Le "Centre Simon Wiesenthal" de South Roxbury, Los Angeles, Californie, (Etats-Unis) et Europe, qui veut faire interdire l'organisation islamique française UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) a adressé une lettre à Dominique Baudis, Président du CSA lui demandant de reconsidérer son autorisation, soulignant que "le CSA et !es "autres officiels qui ont accordé au Hezbollah un nouveau permis de tuer" (...) seront tenus pour co-responsables de toutes les conséquences violentes qui pourraient en résulter". Le Consistoire central s'est dit "choqué" et le Consistoire de Paris "scandalisé". La LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) estime que l'autorisation du CSA "suscite l'inquiétude et l'incompréhension". "Au moment où toutes les autorités politiques et européennes rejoignent les associations antiracistes sur le constat du développement et du rajeunissement de l'antisémitisme traditionnel (...) comment comprendre qu'un média diffusant des messages ouvertement antisémites et appelant au meurtre contre les juifs du monde entier soit autorisé à entrer dans les foyers de nos concitoyens ?". "Comment comprendre, et accepter que les enfants de la République parmi les plus fragilisés puissent être ainsi exposés à un discours d'éducation à la haine ?" Le président de SOS-Racisme, organisation proche du CRIF et fondée par l'Union des Etudiants Juifs de France, UEJF, Dominique Sopo, a demandé à rencontrer le président du CSA, Dominique Baudis, pour lui exposer "ses très vives inquiétudes". "Al Manar sera en France un vecteur supplémentaire de propagande de l’islamisme politique radical. Je pense qu’il y a bien mieux à offrir à la jeunesse que la diffusion d’une pensée profondément réactionnaire et haineuse". Interpellé à l’Assemblée Nationale par le député UDF des Alpes-Maritimes Rudy Salles, Président du groupe d'amitié France-Israël et Président du groupe d'études sur les droits de l'homme, le ministre de la Culture et de la Communication, Renaud Donnedieu de Vabres a expliqué qu’en autorisant Al-Manar, le CSA se donnait les moyens d’un "contrôle draconien". Rudy Salles s'est adressé au gouvernement en ces termes : "Monsieur le Premier ministre, (Jean-Pierre Raffarin) je m'adresse à vous sur une question de la plus extrême gravité qui peut porter atteinte à la paix civile dans notre pays, aller à l'encontre des valeurs de la République et mettre en péril la politique que vous menez contre l'antisémitisme". Enfin, le porte-parole du Parti Socialiste, PS, Julien Dray, député, "s'est indigné" du feu vert donné par le CSA à la télévision Al Manar, "conçue comme un outil de propagande au service du terrorisme et de l'antisémitisme" demandant au Premier ministre d'intervenir. Julien Dray affirme que cette télévision "n'a pas sa place dans le paysage audiovisuel français", concluant : "Par cette décision, le CSA porte un bien mauvais coup aux exigences républicaines". Plus de détails : DOSSIER AL MANAR ; Conventionnement de Al Manar : le CSA répond au CRIF Pétition en ligne du CRIF : http://www.crif.org/index02.php?menu=petition ; Le scandale Al Manar Synthèse proposée par Marc Knobel


Mardi 23 novembre 2004

ANTISEMITISME : Dans un communiqué du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France, CRIF, le Président, Roger Cukierman a vigoureusement protesté contre "la décision de principe du Conseil supérieur de l'Audiovisuel d'autoriser la chaîne de télévision libanaise Al Manar", proche du Hezbollah chiite libanais, en ces termes : "Le CSA vient d’accepter le conventionnement d’Al-Manar, chaîne de télévision du Hezbollah qui émet à partir du Liban et peut être reçue dans les 2,5 millions de foyers français équipés de paraboles. Lors du dîner du CRIF du 31 janvier 2004, le Premier Ministre Jean-Pierre Raffarin, ayant vu dans un film violemment antisémite (meurtre rituel d’un enfant chrétien pour recueillir son sang pour le pain azyme) "des images d’Al-Manar insupportables à la vue, brûlantes au coeur, révoltantes à la raison" avait annoncé son intention de faire interrompre la diffusion de cette chaîne. Le CSA avait en août 2004 demandé au Conseil d’Etat l’interruption de la diffusion d’Al-Manar. Le Conseil d’Etat a demandé alors au CSA d’examiner l’éventualité de conventionnement d’Al-Manar. Nous venons d’assister à un revirement complet du CSA qui est passé en quelques mois de la demande d’interruption au conventionnement. Or, en février 2004, le CSA avait refusé le conventionnement à une chaîne kurde Média TV (NDLR. Médyatv) pour des raisons d’ordre public liées à des liens avec un groupe terroriste. Pourtant, le danger kurde en France paraît bien marginal. Ce qui est en jeu, c’est la lutte contre l’antisémitisme. On ne peut condamner à un an de prison ferme un jeune qui profane un monument à Douaumont et donner son consentement officiel à une chaîne de télévision antisémite. Nous, citoyens français, sommes agressés par une télévision en tant que Juifs. La République doit protéger tous ses citoyens et ne pas se soumettre à des pressions extérieures." ** NDLR. Al Manar, établie au Liban, relève, pour sa diffusion dans les Etats membres de la Communauté européenne, de la compétence de la France, en raison de sa diffusion par l'opérateur de réseaux satellitaires français Eutelsat et de l'absence de licence délivrée par un autre Etat membre de la Communauté européenne. Elle est donc soumise à la législation française. Plus de détails : DOSSIER AL MANAR ; Le CRIF proteste contre l’éventuel conventionnement d’AI-Manar par le CSA ; http://www.manartv.com/ ; Al Manar : le CSA signe la convention (Lebanese Communication Group) ; Texte de la convention de la chaîne Al Manar ; AL-MANAR : ROGER CUKIERMAN DEMANDE DES EXPLICATIONS A DOMINIQUE BAUDIS


Samedi 21 août 2004 805/22201

FRANCE : ANTISEMITISME : Le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative en France, a accordé jusqu'au 1er octobre 2004 à la chaîne de télévision libanaise Al-Manar proche du Hezbollah, diffusée en France via l'opérateur satellitaire Eutelsat, pour déposer un dossier de conventionnement auprès du CSA, Conseil supérieur de l’Audiovisuel, autorité qui contrôle à la fois les fréquences et les programmes des radios et les télévisions hertziennes ou satellitaires, qui demandait l'arrêt de sa diffusion pour avoir programmé un feuilleton jugé antisémite par Israël, mais également pour son traitement de l'information qui "tendrait à la martyrisation des Palestiniens", comprendre, l'encouragement fanatique des attentats contre la puissance occupante, Israël. Le CSA avait saisi le 12 juillet 2004 le Conseil d'Etat d'une demande de suspension de la diffusion d'Al-Manar principalement en raison de la diffusion par la chaîne, en novembre 2003, du feuilleton "Al-Chatat" (Diaspora), racontant l'histoire du sionisme dont certains passages sont jugés "violemment antisémites" par Israël. Un feuilleton très prisé dans les pays arabes, qui donne le ton dès le premier épisode où l'on voit un membre de la richissime famille Rothschild, expliquant sur son lit de mort que Dieu a commandé aux Juifs de "diriger le monde par l'argent, l'usure, le chantage, la reconnaissance de dette, l'extorsion, la drogue, la prostitution, la pornographie, l'assassinat, la corruption politique, tous moyens mafieux...", ou, dans d'autres épisodes, on assiste au meurtre rituel d'un "enfant chrétien" par des prêtres juifs recueillant son sang pour fabriquer du pain azyme (non levé), ou au sort cruel et primitif d'un Juif qui n'a pas respecté le shabbat, jour de repos exclusivement consacré à l'Eternel, Dieu. Nathan Sharansky, membre du Likoud, (parti d'Ariel Sharon), "Ministre de Jérusalem et des Affaires de Diaspora", remet le 6 décembre 2003 à Berlin, en Allemagne, une cassette condensée du feuilleton à Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF). Dès son retour à Paris, ce dernier remet une copie de la cassette à 2 des membres les plus influents de la communauté juive, Jean-Pierre Raffarin, Premier ministre et Dominique Baudis, Président du Conseil supérieur de l’Audiovisuel, organisme en charge de remettre un rapport annuel d'activité au Président de la République. Invité d'honneur du dîner annuel du CRIF, Jean-Pierre Raffarin déclarera : "J'ai considéré comme de mon devoir, avec plusieurs de mes ministres, de prendre le temps de regarder ces images, insupportables à la vue, brûlantes au coeur, révoltantes à la raison. La scénarisation de la haine est de retour". Jean-Pierre Raffarin qui assimile toute critique du sionisme à de l'antisémitisme, s'engage alors à légiférer. D'autant que, lors du deuxième comité interministériel consacré à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, le 27 janvier 2004, Dominique Baudis démontre son impuissance et son manque de moyen juridique pour faire taire Al-Manar, comme il l'avait déja tenté de la faire pendant la guerre d’Irak avec Al-Jazira et en août 2003 avec la chaîne publique égyptienne ESC qui diffusait un feuilleton jugé également antisémite par le CRIF, inspiré des fameux "Protocoles des sages de Sion", désignant les "goys" (non juifs) comme des "gentils" et les "Juifs" en maître d'un gouvernement mondial, visant à l'asservissement de la race humaine, dans l'attente du retour de Dieu, "feuilleton qui pourrait constituer un délit d’incitation à la haine raciale et serait susceptible de troubler l’ordre public" avait écrit le CSA. Le 12 février 2004, les députés examinent à l'Assemblée Nationale des amendements à la loi sur les "communications électroniques" (Loi n° 2004-669 du 9 juillet 2004) qui donneront des pouvoirs nouveaux au CSA, comme celui de faire cesser la diffusion, par référé administratif, des "programmes qui portent atteinte aux principes fondamentaux encadrant l’exercice de la liberté de communication". En attendant, Al Manar est proposé à tous ceux qui disposent d’un décodeur satellite et d'une parabole à orienter sur 13° est, vers le satellite Hotbird4 de l'organisation intergouvernementale Arabsat, non compter Internet qui assure sa rediffusion. NDLR. Contraire aux lois également, la chaîne payante Ultra Blue, pourtant domiciliée à Paris, qui diffuse des films pornographiques toute la journée en violation de la loi qui astreint le X à une diffusion après minuit, malgré la saisine du procureur de la République de Paris en octobre 2002. Une chaîne elle aussi toujours relayée par le même opérateur, Eutelsat. Plus de détails : L’action du CRIF pour empêcher la diffusion de séries antisémites diffusées par la chaîne du Hezbollah, Al Manar





Les mythes fondateurs de l'antisémitisme...
de Carol Iancu
" Le Juif est perfide, le Juif est démoniaque, le Juif est un usurier. De l'Antiquité à nos jours se sont perpétués nombre de mythes, de calomnies monstrueuses qui ont donné naissance à un racisme antijuif virulent : l'antisémitisme. Déjà, dans le monde égyptien, mais aussi au Moyen Age, des ignominies sont proférées à l'encontre du peuple juif... "

Un antisémitisme ordinaire. Vichy et les avocats juifs (1940-1944) de Robert Badinter

Les Juifs ont-ils un avenir ? de Esther Benbassa, Jean-Christophe Attias
Et si les juifs n'étaient pas les " descendants " des Hébreux ? Et si leur Livre n'était pas tant la Bible que le Talmud ? Et si l'antijudaïsme médiéval ne se confondait pas avec l'antisémitisme moderne ? Et si l'orthodoxie n'était pas un retour aux sources mais une invention récente ? Et si le sionisme avait aussi en raison même de ses échecs ? Et s'il fallait cesser de nier les tensions entre Israël et la diaspora, les Ashkénazes et les Sépharades, les intégristes et les laïcs ? Et surtout, si l'institution de la Shoah en religion civile était désormais le principal obstacle à cette universalité qui, avec l'exil et la célébration de la vie, a toujours été au cœur de l'être juif ? Alors la question de savoir si les Juifs ont un avenir serait tout sauf sacrilège.

AFFAIRE Mahathir Mohamad de l'OCI - MALAISIE :
Lors d'une réunion au 10ème sommet de l'OCI
(Organisation de la Conférence Islamique) qui s'est tenue du 16 au 18 octobre 2003.

Mahathir Mohamad : propos tenus par le Premier ministre malaisien !




Antisémitisme : l'intolérable chantage
Israël, une affaire française
de " Collectif "
Cet ouvrage trouve son origine dans un constat alarmant : l’écho puissant du conflit israélo-palestinien suscite la crispation croissante d’une partie importante de la communauté juive française et de certains de ses porte-parole, mais aussi d’un nombre important d’intellectuels. Pris à partir par le livre de Pierre-André Taguieff, La nouvelle Judéophobie, les déclarations du président du CRIF, Roger Cukierman, ou le film Décryptage de Jacques Tarnero et Philippe Bensoussan, ces intellectuels et militants de gauche doivent aujourd’hui faire face au soupçon d’antisémitisme, aux accusations de désinformation, voire au harcèlement judiciaire. Convaincus de la nécessité de comprendre et de réagir à ces accusations brutales et injustes, les auteurs réunis dans ce livre ont souhaité apporter leur témoignage et leur analyse. Sans céder à la polémique, ils répondent fermement à ces attaques et remises en cause et s’efforcent d’en comprendre la logique.
Sommaire : entre réalités et manipulations
Décryptage de Décryptage : vous avez dit désinformation ?
L'" islam " et les " Arabes " vus par les " défenseurs d'Israël " : une désinformation permanente
Du chantage au harcèlement judiciaire
Le cynique, la paranoïaque et le provocateur
Sur la réprobation de la réprobation : à propos de l'" acharnement médiatique contre Israël "
Un nouvel antisémitisme ?
L'accusation.


Les pompiers pyromanes de l’antisémitisme : Violences racistes, amalgames et manipulations... de Dominique Vidal

L'industrie de l'Holocauste : réflexions sur l'exploitation de la souffrance des juifs...
Le court essai de l'historien juif américain Norman Finkelstein, fils de survivants du ghetto de Varsovie et des camps, ne peut laisser indifférent. Accusé par certains de travailler pour les antisémites, soutenu par d'autres pour "son travail salutaire", Finkelstein montre à quel point le génocide juif a servi des intérêts politiques et sociaux considérables. Israël a fait de l'exploitation du malheur juif une arme idéologique puissante, en s'assignant le rôle d'État-victime.

Est-il permis de critiquer Israël ? de Pascal Boniface

Quel avenir pour Israël ? de Shlomo Ben-Ami ( Ancien ministre des Affaires étrangères d'Israël dans le gouvernement travailliste d'Ehud Bahrak )


DOSSIER : Rapport Stasi Commission laïcité


La citation du jour : "On ne peut pas être sioniste et de gauche." Dieudonné M’bala M’bala, humoriste français, à Montreux, (Suisse) en marge du "Festival du Rire", le 8 décembre 2004. Propos recueillis par François Barras pour "24 heures".


Plus de livres, thème ISRAEL : Désinformation, manipulation, propagande...



Page INFO " JUDAISME "

 

 


RESEAU MONDIAL
INDEPENDANT
D'INFORMATION !

( ! ) Liens en bleu
CONDITIONS D'UTILISATION




EDITORIAL

N° DU JOUR
A LA UNE
IMPRIMABLE
ENGLISH
DEUTSCH
PAGES INFO
AFRIQUE
AMERIQUES
ASIE
EUROPE
MONDE (INDEX)
PROCHE-ORIENT
+ ENCYCLO
+ LIENS

ARCHIVES
MONDE (INDEX)
PHOTOS

ABONNEMENTS
GRATUIT PAR EMAIL
CONTRIBUTIONS

CORRESPONDANTS

OFFRES
ACCES

RESSOURCES
FIL INFO GRATUIT
FIL INFO PRO

REDACTION

FABRICATION

TRADUCTEUR
6 LANGUES

MENTIONS

LEGALES
COOKIES

( ! ) MAL VOYANT ?


Rappel : ces deux signes «» placés en bas de chaque page vous permettent de naviguer d'un numéro à un autre.