SOMMAIRE
Mardi 22 février 2005 963/22359

Le président du Vénézuela Hugo Chavez VENEZUELA : Le président Hugo Chavez (photo), élu démocratiquement en décembre 1998, puis réélu pour 6 ans en juillet 2000, a accusé dimanche le président américain George W. Bush de vouloir l'assassiner, affirmant être "condamné à mort". Il a indiqué : "Si on m'assassine, il y a un grand coupable sur cette planète qui s'appelle le président des Etats-Unis, George (W.) Bush". Il a conclu : "Si par la main du diable, ces plans pervers étaient couronnés de succès (...) oubliez le pétrole vénézuélien Monsieur Bush". Les Etats-Unis représentent 85 % des exportations vénézuéliennes de pétrole brut, soit entre 12 et 15 % de la consommation américaine. Le 12 février 2005, le président cubain Fidel Castro avait déjà accusé le président des Etats-Unis de vouloir assassiner le président vénézuélien, soulignant que lui-même avait "survécu à des centaines de plans (d'attentat) de l'empire" américain. "Ni Fidel Castro ni moi ne disons des bêtises. S'il m'arrive quelque chose, je rends responsable le président des Etats-Unis". Hugo Chavez a toujours accusé Washington d'être derrière le coup d'Etat manqué qui l'avait éloigné du pouvoir pendant 47 heures le 17 avril 2002. Plus de détails : Putsch et contre-putsch au Vénézuela ; Le coup d'état d'avril 2002 qui a duré 47 heures ; Venezuela : 11 avril 2002 : coup de force patronal
PANAMA : Le ministre des Affaires étrangères Samuel Lewis, a annoncé que Sandra Noriega, une des filles de l'ancien homme fort du Panama, le général Manuel Noriega, au pouvoir de 1981 à 1989, a été nommée comme diplomate au consulat de Panama à Miami, (Etats-Unis) où son père y est emprisonné depuis 1990 pour une durée de 30 ans pour trafic de drogue. Le ministre a déclaré à l'issue de cette nomination : "Sandra Noriega est une personne qualifiée qui a le droit de servir son pays". Le général Noriega, après voir collaboré avec l'agence américaine de renseignement (CIA), a été renversé lors de l'invasion américaine de Panama en décembre 1989. La Cour d'appel de Paris l'a également condamné à 10 ans de prison pour blanchiment d'argent de la drogue.
HONDURAS : Le juge Felipe Speer a condamné samedi à 19 ans de pénitencier, l'ancien directeur de prison Oscar Sanchez pour son rôle dans la mort de dizaines de détenus en avril 2003. Il a été reconnu coupable en décembre 2004 de meurtre et tentative de meurtre sur 68 détenus. Les policiers commandés par Oscar Sanchez ont attisé l'émeute en distribuant des armes à des membres de bandes rivales qui se sont affrontées et ont mis le feu à l'établissement. La police a alors ouvert le feu sur les émeutiers. 39 autres personnes sont accusées de complicité.
KENYA : La directrice exécutive de la Commission anti-corruption, ancienne responsable de la Fédération kenyane des femmes juristes (FIDA) , Jane Kiragu, dont la tâche consistait à organiser la lutte contre la corruption par la sensibilisation du public, a démissionné de son poste affirmant que le gouvernement n'avait pas facilité la tâche à son département et ne lui avait pas apporté le soutien juridique nécessaire pour mener sa mission à bien. C'est le troisième haut fonctionnaire à démissionner de cette commission mise en place par le Président Mwaï Kibaki pour lutter contre la corruption qui mine les institutions. La présidente de la commission, Mutava Musyimi, et le conseiller personnel du Président Mwaï Kibaki sur la corruption, John Githongo, ont déjà quitté leur poste. L’Allemagne a par ailleurs suspendu toute aide à la lutte anti-corruption au Kenya estimant que le président Kibaki est incapable de "prendre des mesures effectives contre la corruption à un haut niveau". L’aide allemande s’élevait à 6,5 millions de dollars. Le 8 février 2005, ce sont les Etats-Unis qui avaient suspendu leur aide anti-corruption pour l'année 2005-2006 d'un montant global de 2,5 millions de dollars. En 2004, l'aide américaine au Kenya, directe ou indirecte, s'est élevée à 175 millions de dollars. L’Union européenne, le Japon et le Canada ont menacé de prendre des mesures similaires. Selon la presse kenyane, la corruption a coûté au pays plus d'un milliard de dollars depuis 2002, soit un cinquième du budget du gouvernement pour la période 2004/2005, qui s'élève à 5,5 milliards.
MALI :
Le quotidien d'Etat "L'Essor" a révélé que 219 agents ont été rayés du fichier de la Fonction publique à la suite d'un contrôle où les fonctionnaires devaient se présenter physiquement dans leurs services pour toucher leur salaire. Ce contrôle entrepris depuis un an vise à connaître "l'effectif exact des agents qui émargent sur le budget de l'Etat". 855 agents ne se sont pas présentés. Selon "l'Essor", des salaires étaient indûment versés à des fonctionnaires qui n'ont pas donné signe de vie, amenant les pouvoirs publics à suspendre le salaire de 636 agents et à rayer 219 noms de la Fonction publique. Ces fonctionnaires "fantômes" ont reçu des salaires indûs. Les pouvoirs publics auraient engagé des poursuites, souligne "l'Essor", qui révèle que certains auraient déjà entrepris de rembourser les salaires. Le ministère de la Fonction publique, de la Réforme de l'Etat et des Relations avec les institutions a par ailleurs adressé des correspondances à 17 ministères, à la Primature et à la Présidence de la République pour clarifier la situation des agents "fantômes".
FRANCE : 1 300 Libanais selon la Préfecture de police ont manifesté lundi devant l'ambassade du Liban à Paris contre la Syrie qu'ils accusent d'être à l'origine de l'assassinat de l'ex-Premier ministre libanais, Rafik Hariri. Les manifestants demandaient la mise en place "d'une enquête internationale sur l'assassinat de Rafik Hariri, le départ des troupes syriennes de leur pays et la démission du pouvoir en place". DROITS DE L'HOMME : Selon le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) une Mauritanienne, âgée de 28 ans, mère d'un enfant de 3 ans et enceinte, est menacée d'expulsion imminente de France. ** LA LIGUE DES DROITS DE L'HOMME LDH dit : "Non à une justice d’exception pour les étrangers, et demande l’abandon d'un projet consistant à faire juger par un juge unique le contentieux des refus de titres de séjour, qui est dangereux pour le respect des droits des étrangers déjà trop souvent soumis à l'arbitraire". Plus de détails : Justice – Droits des étrangers ** JUSTICE : Jean-Charles Marchiani, 61 ans, Préfet hors cadre, ancien officier de la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, renseignement), ex-bras droit du sénateur Charles Pasqua, mis en examen pour abus de biens sociaux, dans les affaires Aéroport de Paris, ADP/Vanderland, du versement de 9 millions d'euros par un homme d'affaires libanais Iskandar Safa, des ventes de matériel militaire à l'Angola, et dans l'affaire des commissions versées par Elf en marge de contrats au Nigeria, est sorti du quartier VIP de la prison de la Santé à Paris contre le versement d'une caution de 500 000 euros réunis en un week-end par ses amis. Après plus de 6 mois de prison, il est assigné à résidence, sous contrôle judiciaire, à son domicile de Toulon dans le Var, département dont il a été préfet. ** Jean Tiberi, ancien maire de Paris, mis en examen depuis le 28 juin 1999 dans le dossier dit des HLM de Paris a bénéficié d'un non lieu conformément aux réquisitions du parquet (ministère public). Président du conseil d'administration de l'OPAC de 1979 à 1995, Jean Tiberi était soupçonné de couvrir un système de commissions occultes pour l'attribution des marchés publics, notamment par le biais du promoteur proche du RPR devenu UMP Jean-Claude Méry, décédé en 1999. Après 10 ans d'enquête, 49 prévenus, chefs d'entreprises ou dirigeants de l'OPAC, l'office HLM de la Ville de Paris sont renvoyés devant le tribunal correctionnel de Paris. Jean-Claude Méry avait révélé avant de mourir, dans un film vidéo, le système de corruption mettant directement en cause l'actuel Président de la République, Jacques Chirac. La franc-maçonnerie avait alors tenté de destabiliser le juge Eric Halphen en charge de l'affaire, par l'entremise de son beau-père, le docteur Jean-Pierre Maréchal, destabilisation organisée selon l'ancien conseiller général des Hauts-de-Seine en fuite, Didier Schuller, avec l'aval du ministère de l'Intérieur alors dirigé par Charles Pasqua. Lors d'un interrogatoire, un avocat de Mery, maître Alain Belot, ex-chef de Brigade à la Direction nationale de Vérification qui a compétence territoriale, devenu avocat fiscaliste, avoue avoir remis l’original de la bande vidéo au socialiste Dominique Strauss-Khan, membre du Grand-Orient de France, alors ministre des Finances en échange d'une "réduction" fiscale de 250 millions de francs, accordée au couturier Karl Lagerfeld, qui faisait l’objet d’un redressement fiscal de 300 millions. Jean-Claude Méry y décrivait le versement d'un demi milliard de francs en espèces à Michel Roussin, chef de cabinet de Jacques Chirac, alors premier ministre et maire de Paris, argent tiré de commissions versées par la Générale des eaux et la Lyonnaise des eaux pour l’attribution des marchés franciliens et destiné à financer le RPR. Jacques Chirac devenu Président se dira "indigné par le procédé, indigné par le message, indigné par l’outrance" faite au Chef de l'Etat. Son Premier ministre de coabitation, le socialiste Lionel Jospin est alors sommé de s'expliquer. "C'est la justice qui mène des enquêtes, pas le gouvernement", rétorquera Elisabeth Guigou, alors Garde des Sceaux. NDLR. L'enquête sur les passations de marchés de l'OPAC a été ouverte en 1994, après dénonciation du ministère du Budget, dirigé par Nicolas Sarkozy, qui pensait favoriser Edouard Balladur, Premier ministre de la seconde cohabitation, aux dépens de Jacques Chirac, maire de Paris et président du parti gaulliste. Plus de détails : Affaire Méry (RTL) ; Affaire Méry : le rebondissement DSK (L'Humanité) ** ANTISEMITISME : "Pour Dieudonné, le sionisme c’est le sida du judaïsme" peut-on lire en titre sur le site Internet du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) qui souligne que les propos de Dieudonné sont condamnés unanimement. Le député européen, et Vice-Président du Groupe Socialiste, PS, Harlem Désir affirme qu'il "faut boycotter Dieudonné et ses spectacles comme on a boycotté, hier, l'apartheid et demander à la justice de le condamner sans ménagement". Selon l'ancien président de SOS-Racisme, Dieudonné "est aujourd'hui l'un des plus grands antisémites de France". Le ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire, porte-parole du Gouvernement, Jean-François Copé, dénonce les propos "absolument scandaleux" de Dieudonné, en affirmant qu'il a "définitivement quitté le registre du comique pour celui de l'indignité". PROFANATIONS : A Drancy, (Seine-Saint-Denis), un wagon-témoin, symbole de la déportation des juifs de France, a reçu un cocktail incendiaire et un tract signé "Ben Laden" avec une croix gammée tracée à l'envers. La majorité des victimes du nazisme en France (plus de 70 000) sont passées par Drancy, dernière étape avant les camps hitlériens. Yonathan Arfi, président de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), a accusé l'humoriste Dieudonné, d'être à l'origine de cet acte : "Cet incendie, ce sont les actes après les mots. C'est la mise en acte de propos tels que ceux proférés par Dieudonné. Ils jettent de l'huile sur le feu et incitent à la haine et à la violence". Le procureur de la République de Bobigny, François Molins, est en charge de l'enquête de flagrance. Le camp d'internement de Drancy, installé dans des logements collectifs, a fonctionné de 1941 à 1944. SUITE : La Grande mosquée de Paris a annoncé lundi la découverte de croix gammées et des inscriptions "Dégagez" et "SS" le long du mur d'enceinte de l'édifice.
ALLEMAGNE :
Dans un communiqué publié lundi, Kerstin Mueller, Secrétaire d'Etat au ministère des Affaires étrangères, a réclamé "la démission immédiate" de Faure Gnassingbé Eyadema "qui s'est hissé au pouvoir par un putsch militaire le 6 février dernier après la mort du président Eyadema". "Il doit ouvrir la voie à un dialogue national entre toutes les forces politiques du Togo pour engager un processus électoral permettant un scrutin présidentiel et parlementaire juste et démocratique", tout en saluant les sanctions prises par la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). ** Un patient de 70 ans, qui avait bénéficié d'une transplantation d'organe provenant d'une donneuse infectée par la rage, est décédé de la maladie, à Hannoversch Muenden, dans le centre du pays, ce qui porte à 2 le nombre de morts victimes de la donneuse qui avait contracté la maladie lors d'un récent voyage en Inde.
BELGIQUE :
Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne, réunis lundi à Bruxelles, se sont engagés, lors de la visite du président américain George W. Bush, qui demande plus d'implication de l'Union européenne en Irak, à former, hors d'Irak, 700 à 800 magistrats, policiers et cadres pénitentiaires irakiens. Cette mission européenne, baptisée "Lex" (loi en latin), devrait débuter cet été 2005 et durer un an.
GRECE :
Les 102 membres du Saint-Synode ont approuvé samedi les réformes proposées par le primat de Grèce, l'archevêque Christodoulos, à l'issue d'un conseil de 2 jours réuni en urgence. L'objectif est de redorer le blason de l'Eglise, entaché par de nombreux scandales : abus sexuels commis par des évêques (un prélat de 91 ans a été photographié nu dans un lit en compagnie d'une jeune femme), corruption de juges (pour faire libérer des trafiquants de drogue présumés où 8 magistrats ont déjà été sanctionnés), trafic d'antiquités ou encore détournement de fonds. La création d'une commission spéciale, qui se réunira sous la direction du primat de Grèce et en présence de membres de la Cour suprême et du Conseil d'Etat, a été approuvée. L'ancien ministre des Affaires étrangères et actuel chef de l'opposition, Georges Papandréou, et d'autres hommes politiques se sont prononcés pour l'organisation d'un référendum sur le statut de l'Eglise relançant la question d'une séparation de l'Eglise et de l'Etat, qui nécessite une modification de la Constitution grecque. Selon un récent sondage, près de 65 % de la population est favorable à une séparation de l'Eglise et de l'Etat. L'archevêque Christodoulos s'est dit opposé à une telle mesure arguant que "le peuple de l'Eglise ne deviendra pas plus moral avec une séparation de l'Eglise et de l'Etat". Plus de détails : Sexe, drogues, armes et espionnage : Vavilis plonge l'Eglise de Grèce dans l'enfer !
LIBAN :
Des dizaines de milliers de sympathisants de l'opposition ont défilé lundi dans le centre de Beyrouth en scandant des slogans hostiles à la Syrie et se sont rassemblés à l'endroit où l'ex-Premier ministre Rafik Hariri est mort dans un attentat à la voiture piégée qui a également tué 16 autres personnes et blessé une centaine d'autres. Il s'agit de la plus grosse manifestation anti-syrienne dans le pays depuis la guerre civile (1975-1990).
IRAK :
Les 2 journalistes indonésiens enlevés mardi dernier par un groupe jusque là inconnu baptisé Jaïch al-Moujahidine (l'Armée des combattants islamiques), sur la route reliant Amman à Bagdad ont été libérés à Ramadi. ** Une journaliste irakienne, Raeda Wazzan, qui travaille pour la télévision publique Iraqia, a été enlevée en compagnie de son fils de 10 ans par des hommes armés à Mossoul, dans le nord du pays. ** Un groupe armé, se faisant appeler la "Brigade des horreurs de l'Armée islamique en Irak", a affirmé avoir enlevé 3 entrepreneurs travaillant pour l'armée américaine, dont un Turc. Il a annoncé son intention de les exécuter dans un communiqué distribué dans plusieurs villes au nord de Bagdad. ** 3 soldats américains ont été tués et 8 blessés par l'explosion d'une bombe artisanale, selon un communiqué militaire.
CISJORDANIE : Le vote d'investiture du nouveau gouvernement palestinien par le parlement réuni à Ramallah, qui devait avoir lieu lundi a été reporté à mardi. Une vingtaine de députés ont critiqué le cabinet proposé par le Premier ministre Ahmad Qoreï estimant qu'il "n'était pas à même de mener les réformes nécessaires". Plusieurs députés, dont certains membres du Fatah de Mahmoud Abbas, se sont plaints de ce que le nouveau gouvernement, composé de 22 ministres outre le Premier ministre Ahmed Qoreï, reconduise "des ministres considérés comme appartenant à la vieille garde corrompue déjà en place sous Yasser Arafat". Selon Tayeb Abdelrahim, député et secrétaire général de l'Autorité palestinienne, "le bloc du Fatah va se réunir ce soir pour décider si des changements doivent être opérés dans la composition actuelle du gouvernement ou si elle sera maintenue".
ISRAEL :
Après le vote historique du cabinet du Premier ministre Ariel Sharon sur le retrait de la Bande de Gaza, les colons ont annoncé qu'ils ferait tout pour empêcher l'application de ce plan. Le rabbin Yéhiel Elnekaveh, d'un bloc de colonies de Gaza, a cependant exclu que "la moindre goutte de sang juif soit versée" dans le cadre de la lutte des colons. Mais il a jugé "la décision du cabinet contraire à la Torah qui enjoint aux juifs de préserver Eretz Israël (aux frontières bibliques) et de ne pas évacuer des juifs de leurs demeures". Dans un communiqué, le comité des rabbins du Conseil des localités juives de Cisjordanie et Gaza, la principale organisation de colons, a affirmé que "la Halacha (tradition religieuse juive) établit qu'un roi agissant contre la Torah ne doit pas être obéi". Selon ce texte, "toute personne qui provoque la division (du peuple) et se montre insensible aux préceptes de la Torah se rend coupable de graves manquements". ** Israël a libéré lundi 500 prisonniers palestiniens. 382 prisonniers étaient condamnés à la prison et 118 autres détenus "à titre administratif", c'est-à-dire sans procès ni jugement. Les mouvements de résistance palestiniens ont "minimisé ces libérations" jugeant que tous les détenus condamnés à de lourdes peines sont exclus de ce plan de libération. Israël s'est engagé à libérer 900 prisonniers palestiniens sur les quelque 8 000 actuellement en détention dans les prisons israéliennes. Plus de détails : Rapport de la FIDH : Les prisonniers palestiniens en Israël : conditions inhumaines des détenus politiques (format pdf)
INDE :
De fortes chutes de neige, les plus importantes depuis 15 ans, ont provoqué la mort, en 72 heures, d'au moins 120 personnes, dont une trentaine d'enfants, dans plusieurs villages aux alentours de Verinag, à 80 km au sud de la capitale d'été du Cachemire indien, Srinagar. Des dizaines d’autres sont portées disparues.




La citation du jour : "Au banquet de la corruption, l'or vaut plus que la foi !" Jacques Brillant Extrait de "Le soleil se cherche tout l'été"




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